Storytelling : conception rédaction.
Chez Casimir
Restaurant de Thierry Breton
Bistrot
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Client
Restaurant tenu par Thierry Breton.
Bistrot de quartier reconnu de la rue de Belzunce. Voisin de la Pointe Du Grouin, Thierry Breton également. -
Cheffe de projet éditorial
J’ai eu comme mission de créer un communiqué de presse, une bio pour viser des média d’influence.
Média chauds: Le Fooding, Topito, Elle à table, Les Inrocks, TTB, Figaro Vin, Europe 1.
Instagram: from 0 to 1,7k (en 6 mois sans aucun budget sponso ou influence).
AUBERGE ENGAGÉE NATURE.
Des nuits qui résonnent de son ancien bar de Pigalle Le Duke, on s’éclate le gosier et les zygomatiques au dernier comptoir des jeunes patrons Yannick et Eddy à Paris 10. Ils tiennent encore leurs manières de bons patrons. Jamais seuls, ils se relancent dans l’aventure de bouche après avoir donné depuis 4 ans un second souffle à l’ancienne maison L’Enchotte aujourd'hui au doux nom du fils de Yannick, Chez Marius rue de Chabrol.
Fines gueules de restaurateurs, Yannick, Eddy et Dimitri travaillent en amitié et en toute générosité. C’est toujours Chez, parce que « le chez nous » c’est « à la maison ». Chez Casimir c’est l’ancien bouclard du bien nommé et ami Thierry Breton, encore grand voisin rue de Belzunce. Chez Casimir tient à ses lettres de noblesse.
TABLE SOUS INFLUENCE TERRE-MER.
Entrée libre par la mer ou la terre pour l'équipe de Chez Casimir. On ne se lasse pas des arrivages tous les jours. Si l’humeur n’est pas aux plats sans beurre, sans crème et sans gluten, l’équilibre est toujours dans l’assiette. On mise sur la pièce du chasseur ou du pêcheur au centre avec une sauce ou un jus ainsi que des légumes, toujours inspirés par la saisonnalité.
CABINET DU BON TERROIR.
La carte est hebdomadaire et limitée : 5 à 6 propositions en entrées, plats et desserts c’est tout. Toute l’équipe en salle explique les différents plats glanés avec goût. L’effort est général, on mise sur le précieux des produits : le goût et leur pouvoir bonne mine. On travaille la joue et le paleron de bœuf, la gorge, la poitrine, et le museau de cochon, la cervelle, la langue et les rognons de veau... comme aussi des pièces folles entières : du chevreuil au porcelet, de la palombe au chamois, du bourguignon de sanglier aux ris de veau ; la maison travaille les produits avec des fournisseurs engagés.
Le poisson ultra frais arrive parfois par mètres. « L’autre jour on recevait 1,60 m de congre j’vous jure ! » La ventrèche de thon, la sériole, les coquillages de saison, tout y passe. Le plateau de fromage vient de Chez Martine au Marché St Quentin voisin.
Le restaurant est ouvert tous les jours. Du lundi au samedi, on dévore façon À la carte ou Menu midi (23€ et 28€). Le dimanche est réservé au brunch gargantuesque dès 11h avec ses petites variations chaque semaine. La méthode ne change pas : du pâté croûte aux salades de saison, de la quiche aux bulots mayo il n'y a qu'un pas. Les assiettes du jour sont servies à table, et le buffet de desserts fait honneur.
PRÉCIS DU BISTROT FRANÇAIS.
Chaque semaine, Fabio, Maria et Martina préparent les pâté croûtes, les terrines de campagne, et les pâtisseries. Autre particularité signature, les huîtres toute l’année. Elles sont aussi bonnes en « joyeux lendemain » qu’en début de semaine. Les Belles de Kalod sont charnues comme il faut et ne sont pas laiteuses.
En fin de partie, la cadence est toujours là. On ne repart pas sans avoir goûté aux desserts maison : un riz au lait miraculeux, un baba léger, une brioche perdue comme on en retrouve plus, et un Paris- Brest-Paris emblème de la maison. Il faut choisir ou tout prendre...
À BOIRE ET À MANGER.
Entrée libre dans une cave à vins propre. La cabane abrite des vins à haute buvabilité. Sans carte, on embarque nos clients en exploration en toute simplicité. Pas de sacré, que du glou-glou ! Nous proposons du rouge, blanc, du orange : oui m’sieurs dames du vin de macération ; des bulles, et une bonne moitié de nos bouteilles existent en magnum. Surprenants et vivants, ces vins vivent leur (meilleure) vie et sont pleins de surprises. Autant chez les jeunes que les anciens, nôtre quête est annuelle, on ne s’arrête pas de déguster !
